Auteur : Merežkovskij, Dmitrij Sergeevič ( 1865 - 1941 )
Bibliothèque Nationale de France
Pays : (Russia (federation))
Langue : Russe
Sexe : Masculin
Date naissance : 02/08/1865 à Saint-Pétersbourg
Date décès : 09/12/1941 à Paris
Note : Écrivain
Forme Rejetées : D. S. Merezhkovsky
Dimitri Merejkovski
Dimitri Merejkowski
Dimitri Merejkowsky
Dimitri Mérejkovsky
Dmitri Merejkovsky
Dmitri Merejkowski
Dmitri Mereschkowski
Dmitri Sergieevitch Merejkovskiĭ
Dmitri Sergueevitch Merejkovski
Dmitriī Sergeevitch Merejkovskiī
Dmitry Merejkovsky
Dmitry de Mérejkowski
Дмитрий Сергеевич Мережковский
D. S. Merezhkovsky
Dimitri Merejkovski
Dimitri Merejkowski
Dimitri Merejkowsky
Dimitri Mérejkovsky
Dmitri Merejkovsky
Dmitri Merejkowski
Dmitri Mereschkowski
Dmitri Sergieevitch Merejkovskiĭ
Dmitri Sergueevitch Merejkovski
Dmitriī Sergeevitch Merejkovskiī
Dmitry Merejkovsky
Dmitry de Mérejkowski
Дмитрий Сергеевич Мережковский
D. S. Merezhkovsky
Dimitri Merejkovski
Dimitri Merejkowski
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Dmitri Merejkovsky
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Dmitri Mereschkowski
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Dmitri Sergueevitch Merejkovski
Dmitriī Sergeevitch Merejkovskiī
Dmitry Merejkovsky
Dmitry de Mérejkowski
Дмитрий Сергеевич Мережковский
WikiPédia
Dimitri Merejkovski (en russe : Дмитрий Сергеевич Мережковский, Dmitri Sergueïevitch Merejkovski), né à Saint-Pétersbourg le 2 août 1865 ( dans le calendrier grégorien) et mort à Paris 16e le , est un écrivain et critique littéraire russe. Il est principalement l’auteur de romans historiques et figure parmi les écrivains les plus lus et les plus célèbres du début du XXe siècle. Ami de Nicolas Berdiaev, proche des socialistes révolutionnaires, il espérait réconcilier Jésus et la révolution et faire de la religion l'âme du socialisme. Sa trilogie Le Christ et l’Antéchrist (1905) lui apporta une gloire mondiale. Fuyant la terreur bolchévique, il s’installe à Paris en 1921 pour y demeurer jusqu’à la fin de ses jours. Son épouse Zinaïda Hippius partageait ses opinions et fut surnommée par Léon Trotski « la Sorcière ». Comme son mari, elle accueillit avec faveur la chute du régime impérial avant de vouer aux bolchéviques une haine absolue ainsi que l'atteste son singulier Journal sous la terreur (Anatolia, 2006). Ils écrivirent à trois des essais philosophico-politiques avec Dimitri Philosophoff.